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Trois offres pour cumuler coût réduit et efficacité

Vous êtes tenté.e par une thérapie ? Sachez que mon accompagnement va répondre à votre attente si vous partagez trois convictions :

  • Vous êtes convaincu.e de l’intérêt d’impliquer activement dans ce chemin thérapeutique non seulement votre esprit, mais aussi vos émotions et votre corps.
  • Vous êtes prêt.e à faire un travail en profondeur pour obtenir une transformation psycho-énergétique définitive.
  • Vous savez qu’une transformation durable ne s’obtient pas en un coup de baguette magique, et vous êtes motivé.e pour consacrer les quelques mois nécessaires à cette aventure.

Quelle offre correspond le mieux à vos attentes ?

Pour réduire le coût de la thérapie et gagner en efficacité, je propose trois offres qui correspondent à des engagements dans la durée plus ou moins longs. A vous de choisir en fonction de ce que vous attendez comme bienfaits de cette thérapie.

Offre rayonnement

L’offre « Rayonnement » vous propose de mener un parcours thérapeutique durant environ un an, à travers 20 séances.

C’est la formule que je vous invite à choisir si :

  • vous souhaitez réaliser une transformation profonde qui vous apportera un véritable confort dans votre vie intérieure et vous permettra d’avoir une vie qui vous corresponde vraiment et dans laquelle vos qualités pourront rayonner ;
  • vous voulez bénéficier des conditions financières les plus avantageuses.

Voici les bénéfices apportés par une série de 20 séances :

  • Vous vous sentez beaucoup mieux ; vous ressentez généralement du bien-être ; votre vie intérieure est en général sereine, votre esprit plus calme, la sensation de stress a disparu ;
  • Vous avez beaucoup plus confiance en vous et en la vie ;
  • Vos relations avec votre entourage sont nettement plus faciles et harmonieuses ;
  • Vous êtes en mesure d’exprimer vos besoins et de vous faire respecter. Vous savez ce qui est juste et essentiel pour vous et vous restez vous-même en face des autres ;
  • Vous êtes conscient.e de vos qualités et de votre valeur.
  • Vous jouissez de la richesse de votre vie intérieure ; vous êtes, en temps réel, conscient.e de vos pensées et de vos émotions, et vous êtes à l’écoute des sensations dans votre corps ;
  • Vous acceptez désormais les situations et les personnes telles qu’elles sont. Et il vous arrive de pouvoir lâcher-prise. Ces attitudes vous apportent un confort de vie exceptionnel. Vous vous sentez autonome pour traverser les vicissitudes de la vie.
  • Vous êtes davantage à l’écoute de votre intuition.
  • Vous connaissez bien votre monde psychologique (croyances limitantes, stratégies relationnelles, peurs, traumas…) ; vous comprenez comment ces composantes psychologiques influent sur votre vie au jour le jour ;
  • Vous avez surmonté vos principales difficultés psychologiques (notamment celles qui vous avaient amené.e à entreprendre une thérapie) ; vous vous êtes libéré.e en bonne partie des schémas de pensée et de comportement qui généraient votre mal-être ; vous avez guéri vos blessures (notamment les traumas) ; vous pouvez adopter des comportements mieux adaptés et qui génèrent de l’harmonie autour de vous et de la sérénité en vous.

Offre « Changement »

L’offre « Changement » consiste à réaliser une parcours thérapeutique composé de 10 séances qui s’échelonne sur 6 mois environ.

Cette offre est la mieux adaptée pour vous si :

  • vous souhaitez dépasser les difficultés psychologiques que vous rencontrez actuellement ;
  • et vous voulez profitez de conditions financières avantageuses.

Ce que vous apportera cette série de 10 séances :

  • Vous vous sentez mieux ; votre ambiance intérieure a évolué : une irritabilité réduite, un esprit moins agité, moins de stress ;
  • Vous avez plus confiance en vous ;
  • Vos relations avec votre entourage sont plus faciles ;
  • Vous êtes en mesure d’identifier vos besoins et de les exprimer.
  • Vous êtes conscient.e de vos qualités et de votre valeur.
  • Vous êtes davantage conscient.e de vos émotions et de vos pensées et vous avez développé une relation plus intime avec votre corps ; vous sentez que vous êtes en contact avec vous-même ;
  • Il vous arrive de pouvoir accepter les situations et les personnes telles qu’elles sont, ce qui rend votre vie beaucoup plus facile ;
  • Vous connaissez l’essentiel de vos croyances, modes de fonctionnement, peurs…, et vous avez identifié vos points sensibles (blessures maîtresses) et les causes profondes de votre mal-être ;
  • Vous avez dépassé certaines difficultés psychologiques, vous êtes moins réactif.ve face aux situations qui étaient difficiles pour vous et qui sont devenues plus confortables.

Offre « Apaisement »

L’offre « Apaisement » est composée de 5 séances qui vous permettent d’être accompagné.e pendant 2-3 mois.

Cette solution devrait être idéale pour vous si :

  • vous souhaitez obtenir un mieux-être immédiat, et/ou vous voulez tester l’efficacité de ma méthode thérapeutique avant de vous engager dans un travail plus approfondi,
  • vous voulez bénéficier d’une réduction substantielle par rapport au tarif des séances à l’unité.

Ce que vous apportera cette série de 5 séances :

  • Vous ressentez un réel soulagement ; vous êtes apaisé·e émotionnellement ;
  • Vous vous sentez plus serein dans vos relations avec votre entourage et vous les gérez plus facilement ;
  • Vous êtes plus conscient.e de vos qualités et de votre valeur ;
  • Au jour le jour, vous êtes davantage conscient de ce que vous vivez sur le plan émotionnel ; vous avez établi le contact avec votre corps (s’il n’existait pas auparavant) ;
  • Vous commencez à connaître votre monde psychologique intérieur (croyances limitantes, stratégies relationnelles, valeurs familiales, peurs, traumas…) ; le processus de transformation est entamé.

IMPORTANT : les bénéfices qui viennent d’être exposés sont donnés à titre purement indicatif. Chacun a son propre processus thérapeutique et chacun évolue à son rythme. De nombreux facteurs individuels influent sur le rythme de la transformation (notamment si une thérapie a déjà été réalisée auparavant).

Des tarifs avantageux dans le cadre de ces forfaits

Offre « Rayonnement » – Forfait de 20 séances : 80 € par séance (- 20 %)

Offre « Changement » – Forfait de 10 séances : 85 € par séance (- 15 %)

Offre « Apaisement » – Forfait de 5 séances : 90 € par séance (- 10 %)

Pour rappel, le tarif d’une séance « à la carte » est 100 €.

Les modalités de paiement sont confortables et adaptées aux préférences de chacun.

 

Un parcours thérapeutique à votre rythme

Vous pouvez réaliser vos 20, 10 ou 5 séances à votre rythme. L’idéal est de les espacer de 2 ou maximum 3 semaines en « période de croisière » (et d’une ou deux semaines au tout début).

L’offre « Rayonnement » correspond donc à un parcours thérapeutique d’environ un an.

L’offre « Changement » va vous mobiliser pendant 6 mois environ.

L’offre « Apaisement » équivaut à 2 – 3 mois de thérapie.

Toutefois, il n’y a aucune limite de temps pour profiter d’une offre.

 

Mieux vaut choisir une de ces offres plutôt que des séances à la carte : pourquoi ?

  • En optant pour une offre, vous prenez un engagement fort vis-à-vis de vous-même et cela a pour effet de renforcer la dynamique de changementqui opère non seulement pendant les séances mais aussi entre elles.
  • Ces offres sont avantageuses financièrement.

De plus, lorsque vous optez pour l’une de ces offres, vous recevez deux moyens complémentaires qui vont booster votre transformation :

  • Un document exclusif intitulé « Les 3 attitudes clés du bonheur » que j’ai rédigé à votre intention ;
  • Le journal de votre thérapie.

Vite fait et bien fait !

A travers ces trois offres, votre processus de transformation allie efficacité et gain de temps car :

  • Vous bénéficiez de l’efficacité de séances sur mesure qui combinent plusieurs approches thérapeutiques. Formée à plusieurs outils, je vous accompagne en ajustant en permanence la méthode de travail à votre situation personnelle.

En savoir plus sur le déroulement de la thérapie et sur les outils thérapeutiques que j’utilise.

  • La technique du Rebirth, réputée pour sa puissance, et la très innovante thérapie non duelle vous font gagner du temps car elles vous permettent d’aller directement « en profondeur » pour dissoudre définitivement les causes de votre mal-être.
Humeur

Choisir la paix

Les conflits ne sont pas inévitables. Chacun à notre niveau, nous sommes libres et nous avons le pouvoir ! Libres de faire la paix en nous-même, avec le pouvoir de transformer le monde, radicalement et en douceur…

A l’heure où les conflits sociaux se multiplient, où les médias jouent le rôle de caisse de résonnance et amplifient les échos de ces tensions, où d’aucuns se gargarisent des mots « lutte », « mobilisation générale », et autres termes relevant du vocabulaire guerrier, je vais m’inscrire à contre-pied en vous parlant aujourd’hui de paix…

Un double contre-pied en fait puisqu’au lieu de vous parler de la paix sociale, je vais mettre le focus sur la paix intérieure.

Car ce qui se déploie dans le monde extérieur est exclusivement le reflet de notre vie intérieure. De notre vie intérieure à nous tous.

Le monde serait ô combien agréable à vivre si nous faisions la paix à l’intérieur de nous-même ! En effet, même lorsque nos tensions intérieures, contrariétés, peurs et autres états d’âme négatifs ne s’expriment pas dans nos paroles et notre comportement (sous forme de brusqueries, disputes, rouspétances, inquiétudes, prises de pouvoir, et autres), elles sont parfaitement perceptibles à travers l’ambiance que nous dégageons. Et cela est vrai tant au plan individuel que collectivement.

Quand la paix est palpable…

Et inversement ! Lorsque nous sommes au contact d’une personne paisible, ou que nous pénétrons dans un endroit imprégné de paix, nous le ressentons aussitôt et… avons envie d’y rester ! Je suppose que cela vous parle et que vous avez en tête une telle personne ou un tel endroit.

Bien sûr, il y a la paix à laquelle on accède par la méditation, la prière, ou la contemplation de la nature. On parle de paix « transpersonnelle », c’est-à-dire au-delà de la personnalité, dans cet espace plus vaste qui dépasse l’égo. Un espace qui est d’ailleurs accessible aussi grâce aux états modifiés de conscience obtenus par des techniques de respiration telles que le Rebirth. Cette paix-là mérite un « p » majuscule !

Mais je vais plutôt évoquer ici la paix que nous pouvons cultiver dans la sphère de notre personnalité, au jour le jour.

Des disputes à l’intérieur de nous-même

Quand nous portons notre attention sur notre vie intérieure, nous nous rendons compte que des opinions diverses s’expriment à l’intérieur de nous. On parle parfois de « subpersonnalités ». Il s’agit de « parties de nous » qui ont, chacune, leur propre vision des choses, de ce qu’il convient que nous fassions ou ne fassions pas, qui ont, chacune, leurs propres sentiments, leurs échelles de valeur, leurs peurs spécifiques, etc. Comme des petites personnes à l’intérieur d’une même personne.

Or, ces subpersonnalités sont rarement d’accord entre elles et il en résulte parfois des disputes…

Il arrive même que ces bagarres soient tellement violentes que le paysage intérieur ressemble à un champ de bataille.

Les belligérants se détestent, se méprisent, rêvent de s’entretuer, passent leur temps à s’envoyer des projectiles sous la forme de petites phrases assassines par exemple.

Une ambiance intérieure difficile à vivre

J’illustre mon propos. Une personne que j’accompagne, appelons-là Tiphaine, sombre souvent dans un état dépressif qui la paralyse. Lors de son dernier épisode dépressif, Tiphaine a clairement entendu à l’intérieur d’elle la voix d’une subpersonnalité qui exigeait qu’elle sorte de cet état, qu’elle fasse ceci, cela, bref qu’elle bouge. Ce qui l’a frappée, c’est à quel point cette subpersonnalité détestait sa dépression et se montrait agressive (dans son discours) à l’égard de la partie d’elle déprimée. Une ambiance de violence intérieure qui lui rappelait l’atmosphère de sa famille dans son enfance. « C’est la guerre ! », a résumé Tiphaine.

Les désaccords intérieurs ne revêtent pas toujours une telle véhémence, heureusement. Mais on y trouve bien souvent des colorations assez déplaisantes, comme le mépris, la critique systématique, ou l’humiliation…

Ainsi, chez Julien (prénom fictif) – une autre personne que j’accompagne -, l’une des voix intérieures déplore qu’il puisse être si… inintéressant. Cette même subpersonnalité annonce, tel le couperet de l’échafaud qui tombe, que : « personne ne peut t’aimer et il ne faut pas que tu t’étonnes que ta vie amoureuse soit un grand désert… ». Vous en conviendrez, cela ne respire pas la bienveillance !

Devenir ambassadeurs de la paix

Quand nous parvenons, grâce à la thérapie, à identifier ces conflits intérieurs et à les pacifier, il se produit un changement radical au niveau du bien-être individuel. Mais ce qui me paraît tout aussi important, c’est que la qualité de vie des proches et de toutes les personnes que nous rencontrons en est positivement impactées. C’est la paix qui rayonne.

On pourrait, sans exagération, qualifier de « mini ambassadeurs de la paix » toutes ces personnes qui ont pacifié leur vie intérieure, même si, au départ, leur motivation était leur propre bien-être.

Et si notre société aspirait réellement à la paix, si elle accordait autant d’importance à la paix qu’à la santé par exemple, ne devrait-on pas imaginer un système équivalent à celui de la Sécurité Sociale, pour que chacun puisse dissoudre ses conflits intérieurs (comme on soigne ses blessures), bénéficier ainsi de la délicieuse ambiance intérieure de paix (comme on profite d’une bonne santé) et contribuer du même coup au bien-être collectif ?

Qu’en pensez-vous ?

Thérapie

Témoignage : Libre de danser sa vie

Je suis heureuse de vous présenter le témoignage de Flaviana* que j’ai eu le bonheur d’accompagner dans son parcours thérapeutique sur 15 séances entre septembre 2016 et juin 2017. Confrontée au départ à une difficulté psychologique handicapante, Flaviana a acquis l’aptitude de traverser son existence sereinement. Danseuse et chorégraphe de 33 ans, elle dessine désormais les mouvements de sa vie en conscience…

 

« J’ai commencé le travail thérapeutique avec Anne après un moment de fortes anxiétés et paniques que j’avais vécues lors de mes vacances d’été. Il y avait beaucoup de peur et de conflit à l’intérieur de moi et je n’arrivais pas à trouver le calme, j’étais souvent énervée ou agitée ou triste.

Je cherchais quelqu’un qui pouvait m’aider avec des méthodes douces et surtout avec qui j’allais travailler pour rééquilibrer l’harmonie entre le corps, la conscience et la partie plus spirituelle de moi.

À chaque séance, après une discussion initiale, Anne m’invitait à aller plus en profondeur dans un des aspects qui me donnaient de la souffrance et on cherchait, ensemble, à résoudre certaines situations émotionnelles qui étaient restées souvent bloquées dans leur processus.

Avec Anne, son écoute, son ouverture et sa douceur, j’ai pu avec patience dépasser certains mécanismes d’oppression qui revenaient à chaque fois identiques à eux-mêmes, et desquels je n’arrivais pas à me libérer. J’ai appris à me connaitre plus en profondeur grâce au fait que j’ai commencé à m’observer.

La première leçon de ce parcours thérapeutique est de ressentir ce que se passe quand il y a une émotion et de l’accueillir sans jugement, puis d’essayer de voir d’où elle vient, mais sans vouloir l’analyser. C’est une compréhension « maternelle » et sans critique, sans rechercher à culpabiliser quelqu’un et surtout pas soi-même ! Cette approche m’a appris l’importance de prendre soin de soi et cela m’a rendue beaucoup plus consciente et attentive, et m’a aidée à débloquer et dissoudre certains traumatismes avec beaucoup de douceur.

Après un an de séances assidues je me sens plus forte, confiante et rassurée qu’il y a toujours beaucoup de solutions à tout ce qu’on appelle « problèmes », mais qui ne sont que des étapes de notre évolution, et qu’il faut juste savoir se connaitre pour les dépasser et pour trouver le bonheur et la joie. Ces sont nos peurs, nos résistances et nos limites qui ne nous permettent pas d’avancer et de vivre la vie de façon plus fluide.

Je ne cache pas que c’est un parcours qui peut être parfois difficile, ou douloureux, mais qui m’a permise de vraiment reprendre ma vie en main et de ne plus me sentir victime des situations, ou des autres. Et surtout de devenir autonome et thérapeute de moi-même ! »

* prénom fictif

Estime de soi

Rétablir l’estime de soi

A l’intérieur de nous, une petite voix nous critique à longueur de journée et nous sommes persuadés qu’elle a raison ! Comment rétablir l’estime de nous-même ?

Vous avez sans doute remarqué qu’à l’intérieur de vous, des pensées émergent à longueur de journée et parmi elles, de très très nombreuses critiques à votre égard. Une petite voix murmure des reproches dans votre tête. Beaucoup d’entre nous l’entendons nous répéter que nous sommes « nuls » et que nous ne sommes « pas à la hauteur ».

Cette petite voix est celle d’une partie de notre personnalité (une sub-personnalité) appelée « le Critique intérieur », dont la mission est de… nous critiquer ! Son job étant, comme son nom l’indique, ni plus ni moins, de critiquer, la panoplie de ses critiques est infinie et peu importe ce que nous faisons et comment nous sommes, il n’est jamais satisfait et nous le fait savoir !

 

Notre apparence physique est l’objet de nombreuses critiques

Nos Critiques intérieurs sont particulièrement virulents au sujet de notre apparence physique. Ils critiquent par exemple notre poids : nous sommes presque toujours trop gros ou trop maigre ; ça ne va jamais. Si nous avons atteint le poids estimé idéal, notre Critique nous assène d’un ton affligé : « de toute façon, tu ne vas pas rester à ce poids, tu n’es pas persévérant… ».

defilé modeSi vous croisez dans la rue une femme dotée d’une silhouette de mannequin, n’allez pas imaginer qu’elle soit satisfaite de son apparence. Son Critique intérieur lui murmure d’un ton méprisant des remarques telles que : « Avec la peau que tu as, quel homme voudrait de toi ? » ou bien : « ça sert à quoi d’être mince si ton corps est flasque, c’est répugnant, tu devrais faire plus de sport », ou encore : « en mangeant si mal, tu mets ta santé en péril, c’est malin… ».

Et si cette femme améliore sa peau, muscle son corps et mange équilibré, son Critique intérieur ne la laisse pas en paix pour autant. Il trouve autre chose qui ne va pas car c’est sa mission de critiquer et il est très doué pour cela. Très entraîné aussi, avec toutes ces années d’expérience ! Lorsqu’au cours d’une séance, une personne en cours de thérapie se glisse dans la peau de son Critique intérieur et parle en son nom, la créativité et l’intelligence dont fait preuve cette sub-personnalité sont toujours fascinants…

 

Nous ne sommes jamais comme il faut

je-suis-nulNos Critiques intérieurs sont attentifs et présents dans tous les aspects de nos vies, et notamment aussi dans notre vie professionnelle. Si vous travaillez beaucoup, il vous le reprochera : « tu devrais travailler moins, tu vas t’épuiser ; comment peux-tu être aussi irresponsable et inconscient des conséquences de ton comportement ? ». Vous décidez de travailler moins et il vous le reprochera aussi : « ton laisser-aller est affligeant. Si tu ne t’investis pas plus, tu vas être flanqué dehors et tu l’auras bien cherché ».

Inspiré par les remarques faites par nos parents lorsque nous étions enfants, notre Critique intérieur ne manque pas une occasion de nous reprendre dans le même sens, en nous assommant de qualificatifs désobligeants : « égoïste », « méchant », « pas intéressant », « autoritaire »… Son ton est cassant et son opinion catégorique.

 

Notre estime de nous est sapée

Nous sommes convaincus inconsciemment que toutes ces critiques intérieures sont parfaitement justifiées puisqu’elles reprennent les reproches faits par papa et maman. Puisqu’elles sont le reflet des valeurs enseignées par nos parents, par exemple qu’il faut être sérieux, gentil, intéressant, et belle pour une femme. Pure vérité, n’est-ce pas ?!

Donc, nous croyons cette voix intérieure, nous ne la remettons pas du tout en question. Qui plus est, nous nous identifions à elle : nous nous approprions ses critiques et les reprenons à notre compte : « JE SUIS moche, trop gros, pas sérieux… », « JE SUIS nul, je ne suis jamais à la hauteur, je n’y arriverai jamais… ». Autrement dit, parce qu’une telle opinion s’est exprimée à l’intérieur de nous avec tant de vigueur, nous considérons qu’elle est vraie et la faisons nôtre.

Résultat désastreux : notre estime de nous est sapée. Nous sommes si persuadés que nous sommes nuls que nous nous abstenons d’entreprendre des choses que nous sommes parfaitement capables de réaliser.

 

Comment réduire l’emprise du Critique intérieur

oie volantIl est salutaire d’être conscient de la présence de ce Critique intérieur et de s’en désidentifier, c’est-à-dire de l’entendre parler à l’intérieur de nous, tout en sachant que c’est seulement lui qui s’exprime et que nous ne sommes pas lui. C’est la première étape du travail. Avoir une vision générale de ce qui se passe en nous et prendre un peu de distance par rapport à cet aspect de nous qu’est notre Critique intérieur.

Même s’il nous empoisonne la vie, il mérite notre bienveillance car cette sub-personnalité constitue en fait un système de protection bien utile. Notre Critique intérieur veille sans cesse à ce que nous ne fassions pas de bêtises qui pourraient nous mettre dans une situation difficile à vivre et douloureuse pour nous. Toute son énergie est en action pour nous protéger de nos peurs (peurs de manquer d’amour ou de reconnaissance, de se retrouver seul, de mourir, etc.).

Lorsque le Critique intérieur se sent écouté et compris, il peut se détendre et devient moins virulent. Je vous invite donc à faire l’exercice qui consiste à demander à votre Critique intérieur son opinion sur vous. Une fois que vous ressentez la présence de cette subpersonnalité en vous, vous établissez le contact avec elle, vous lui posez des questions précises, vous l’écoutez attentivement et notez ce dialogue au fur et à mesure. Vous allez voir, c’est une expérience palpitante !

L’étape suivante consiste à rassurer votre Critique intérieur en « gérant » les peurs qui l’activent et in fine en dissolvant ces peurs. C’est un travail plus en profondeur qui peut nécessiter un accompagnement.

 

 Auteure : Anne Lautier

 

A lire à ce sujet, l’excellent livre de Hal et Sidra Stone, les inventeurs du Voice Dialogue (dialogue des subpersonnalités) : « Le critique intérieur », paru chez Warina Editions.

Hyperactivité

Les racines de l’hyperactivité

Façonnés par le culte de la performance dès l’enfance, nous devenons hyperactifs (et stressés !) sans pour autant parvenir à étancher notre soif de reconnaissance.

Notre société valorise la performance et la plupart d’entre nous avons grandi dans des familles qui attachent une forte importance aux résultats scolaires des enfants, puis à leur réussite professionnelle. Selon cette conception, la valeur d’une personne repose, en grande partie, sur des critères objectifs et mesurables.

Quand il rentre de l’école, l’enfant sait que ses parents seront contents s’il ramène de bonnes notes. Ils le regarderont avec fierté et l’atmosphère à la maison s’en trouvera impactée, devenant, selon les cas, plus légère, sereine, ou même joyeuse.

 

L’importance des performances scolaires

Chaque famille a sa manière de célébrer les réussites ou/et de punir en cas de mauvais résultats. Mais dans tous les cas, l’enfant comprend très vite l’importance de ses performances scolaires. Ce qui se joue pour lui va au-delà de la récompense ou de la punition.

C’est la perception qu’il a de lui-même qui se construit alors. Et cette perception va l’accompagner tout au long de sa vie.

Voyant le scénario qui se déroule autour de lui, l’enfant intègre l’échelle de valeur familiale et sociétale. Dans le jargon des psys, on parle d’introjection. Un ensemble de croyances se mettent en place, par exemple « si je réussis à l’école, je suis quelqu’un de bien ».

 

L’estime de soi en jeu

Autrement dit, sa propre estime de lui-même repose sur sa réussite scolaire. Et ainsi, un enfant en échec scolaire a souvent une image de lui-même dévalorisée : il se perçoit comme « un raté ».

La réalité est en fait plus complexe que ce simple « mécanisme ». Il arrive par exemple qu’un enfant brillant sur le plan scolaire bascule dans la dévalorisation de soi à la suite d’un épisode ou de circonstances difficiles, telles qu’une compétition avec un autre membre de la fratrie ou une période de baisse des résultats.

 

Amour sous condition

Quand l’enfant est ainsi évalué à travers ses résultats, ce qui s’inscrit en lui est plus profond encore. Car il a absolument besoin d’amour et de reconnaissance et ce qu’il redoute le plus est d’être abandonné ou rejeté. Or, c’est précisément ce qui se joue au moment où il présente ses notes à ses parents.

Comme j’ai pu le constater de multiples fois dans le vécu des personnes que j’accompagne, l’enjeu est considérable pour l’enfant à ce moment-là. Il perçoit que les bonnes notes lui ouvrent la porte de l’amour de ses parents : un amour sous condition.

Plus ses parents accordent de l’importance à cet élément et réagissent en conséquence, plus l’enfant enregistre l’équation « bonnes notes = on me prend dans les bras, on me manifeste plus d’attentions, etc. ».

Cette réalité – subjective – s’inscrit à l’intérieur de lui, sous la forme de croyances telles que : « je dois réussir pour mériter d’être aimé ». Ou dans le cas d’échecs : « je ne mérite pas d’être aimé ».

 

La reconnaissance dépend de la réussite

Autre effet évident : avec ses bons résultats, l’enfant se sent reconnu. Il devient quelqu’un d’important dans la famille, une personne aux qualités appréciées. Pour obtenir un bien aussi précieux que cette reconnaissance lorsqu’elle lui fait défaut – ce qui est très souvent le cas -, l’enfant est prêt à accomplir des efforts considérables.

Cette reconnaissance conditionnelle accordée à l’enfant met en place d’autres croyances à l’intérieur de lui, comme « je suis apprécié à condition que je réussisse ».

Ainsi, l’enfant comprend deux choses :

  • d’abord qu’il est évalué et jugé,
  • ensuite que le critère déterminant pour obtenir amour et reconnaissance est ce qu’il produit.

Il est moins apprécié pour ce qu’il EST que pour ce qu’il FAIT. D’ailleurs le culte de la performance est parfois conjugué avec une obligation d’être toujours dans l’action : « arrête de rêver », « ne reste pas à ne rien faire »…

 

Un terreau pour l’hyperactivité

Face à l’importance de l’enjeu, la plupart des enfants se mobilisent pour, à tout prix, réussir. Le mécanisme inconscient qui se met en place peut se résumer de la manière suivante :

La soif d’amour et de reconnaissance ne peut être satisfaite que par une course effrénée aux « résultats ».

abeille rucheAinsi se met en place un schéma de fonctionnement « actif », ou plutôt « hyperactif », accompagné d’un énorme stress. Et comme les croyances et les comportements mis en place dans l’enfance perdurent à l’âge adulte, cela donne les bourreaux de travail qui nous entourent ou… que nous sommes peut-être nous-même ! Le résultat de ce modèle éducatif est omniprésent autour de nous.

 

Se libérer de la prison de l’hyperactivité

Mais je ne veux pas terminer cet article sur ce sombre constat… La bonne nouvelle, car il en a une, c’est qu’un travail thérapeutique permet de restaurer un meilleur équilibre entre activité et non-activité et d’établir une saine estime de soi. En rendant conscients tous les ingrédients psychiques évoqués plus haut – les croyances, les peurs de manquer d’amour ou d’être rejeté, etc. -, puis en transformant ce paysage intérieur.

Grâce à cette profonde transformation, une vie complètement nouvelle émerge. Le soulagement est immense…

Que peut-on attendre de la thérapie ?

Premier bienfait : la sérénité intérieure grandit

Le travail thérapeutique que je propose va se traduire par des changements concrets dans votre vie quotidienne.

D’une manière générale, la thérapie apporte la sérénité intérieure :

Vous êtes bien avec vous-même, votre esprit est plus calme, vous n’êtes plus débordé.e ou paralysé.e par vos émotions, vous cultivez l’harmonie autour de vous notamment dans vos relations, vous savez où vous allez dans votre vie et vous vous en sentez capable !


Les 4 bénéfices apportés par la thérapie

De manière synthétique, on peut dire que le chemin thérapeutique que je propose apporte 4 bénéfices :

  • Vous apprenez à vous connaître et découvrez votre véritable identité ;
  • Vous dissolvez les causes de votre mal-être ;
  • Vous devenez authentiquement vous-même ;
  • Vous apprenez les attitudes qui sont les clés du bonheur.

Pour en savoir plus, lire aussi la page sur « mon approche de la thérapie ».


Des améliorations concrètes au quotidien

Voici une liste (non exhaustive !) des effets que vous pouvez attendre selon la problématique qui vous conduit à entreprendre une thérapie.

Les relations avec les autres : l’apaisement et la justesse
  • Les tensions que vous ressentiez face à certaines personnes de votre entourage s’apaisent ;
  • Vous adoptez une attitude juste face au comportement des autres ; vous vous faites respecter et vous respectez l’autre ;
  • Vous êtes en mesure de cultiver des relations paisibles, saines et harmonieuses ;
  • Vous vous sentez à l’aise avec les autres et restez fidèle à vous-même dans la rencontre avec l’autre ;
  • Vous savez communiquer avec vos proches avec clarté et justesse ;

Plus d’informations sur la page  « Vivre des relations harmonieuses ». 

La confiance en soi : quand l’impossible devient possible
  • Vous êtes conscient.e de votre valeur et de vos qualités ; vous vous aimez tel.le que vous êtes, y compris avec vos faiblesses ;
  • Vous prenez aisément la parole dans un groupe ou lors d’une réunion ; vous prenez votre place ;
  • Vous faites face aux défis de la vie, et notamment aux changements, en gardant confiance en vous et en la vie ; vous trouvez en vous des ressources nouvelles pour construire l’avenir ;

Pour plus d’informations, lire les articles sur la confiance en soi sur le blog.

 Le burn-out et l’hyperactivité : rééquilibrer sa vie
  • Vous trouvez un nouvel équilibre entre activité et repos, entre travail et loisir ; vous vous accordez le droit de ne rien faire ;
  • Vous introduisez la détente et le plaisir dans tous les segments de votre vie ; vous cessez de faire rimer travail avec contrainte, déplaisir et effort ;
  • Vous remplacez la quantité d’activités par la qualité de vie intérieure ;

Pour plus d’informations, lire les deux articles sur l’hyperactivité sur le blog. 

 La gestion des émotions : retrouver la stabilité
  • Vous n’êtes plus sujet.te à des débordements émotionnels (accès de colère ou de tristesse ; angoisse) ;
  • Vous savez repérer l’arrivée d’une émotion forte en vous ; vous savez la gérer et rester stable ;

Pour plus d’informations lire les articles sur la peur sur le blog.

 Le sentiment de solitude : changement d’ambiance et ouverture
  • Vous êtes devenu.e capable de vous mettre en mouvement pour sortir de l’isolement ; la peur et le poids des habitudes ne vous paralysent plus ;
  • Vous vivez en compagnie de… vous-même (donc pas seul.e !), nourri.e de votre vie intérieure ;
  • Vous savez prendre soin de la partie de vous blessée qui vous amenait à vous replier sur vous ;

Pour plus d’informations, lire les articles et témoignages sur la solitude.

 La construction d’un couple : la lucidité qui montre la voie
  • Vous pouvez entreprendre de nouvelles rencontres en vous sentant libre de l’influence des expériences antérieures insatisfaisantes ;
  • Vous avez les idées claires sur le partenaire qui vous conviendrait et sur ce que vous ne voulez pas ;
  • Vous restez fidèle à vous-même dans la rencontre ; vous adoptez l’attitude juste face à l’autre ;
 Les traumas : pour que le passé appartienne au passé
  • Vous vous libérez des incidences (conscientes et inconscientes) de ces événements ; vous repoussez les limites dans lesquelles vous étiez emprisonné.e ;

Voici quelques autres domaines de compétence dans lesquels je peux vous permettre d’accomplir une transformation libératrice : le sens de la vie, la violence, l’argent, l’émergence spirituelle

Solitude

Un remède au sentiment de solitude

Pour faire face au sentiment de solitude, nous mettons en place toutes sortes de stratégies, plutôt inefficaces ! Pourtant, il existe un remède…

Comme je peux le constater dans mon cabinet, beaucoup d’entre nous souffrent d’un sentiment de solitude. Certaines personnes ont peu de relations ou même pas du tout, ce qui les amène à passer en solo de nombreuses soirées, fins de semaine et vacances. Une situation vécue douloureusement. A contrario, d’autres personnes vivent en couple et jouissent d’une vie sociale riche ; pourtant, derrière cette « vitrine », un sentiment de solitude les hante.

Pour échapper à la souffrance de la solitude ou à la peur de devoir y faire face, nous sommes prêts à faire beaucoup d’efforts et de concessions…

Ainsi, nous cherchons un compagnon (ou une compagne) et sommes prêt à accepter « celui (ou celle) qui se présente », même si cette relation ne nous offre pas ce que nous en attendons. Même insatisfait(e), nous restons en couple car nous avons trop peur de nous retrouver seul(e). Ou bien, nous allons sortir avec des « relations » même si ces personnes ne nous plaisent pas tant que ça ; juste pour ne pas rester seul(e).

Nos diverses stratégies face à ce sentiment ou cette peur de la solitude ne sont pas toujours couronnées de succès et peuvent nous laisser un goût amer. Parfois, nous en venons même à entamer une thérapie pour réussir à sortir de ce malaise…

Comment apaiser notre sensation de manque

Si vous vous reconnaissez dans les lignes qui précèdent, sachez que le sentiment de solitude et la peur de se retrouver seul(e) sont des expériences qu’il est complètement naturel de traverser, notamment quand l’enfant que nous étions n’a pas été comblé par une présence suffisante de sa mère. Ce qui est très souvent le cas.

Nous avons tous besoin de lien avec les autres, comme nous avons besoin d’amour ou de reconnaissance. Or, dans l’enfance, tous ces besoins sont rarement comblés, ce qui nous laisse avec une sensation de manque qui nous accompagne ensuite notre vie durant. C’est pourquoi nous déployons tant d’efforts pour tenter d’étancher notre soif.

Le travail psychologique peut apporter un mieux-être, en nous amenant à prendre conscience des croyances limitantes que nous avons mis en place pour nous protéger de cette souffrance d’enfant. Ces croyances sont comme un donjon qui a pour effet de nous enfermer et de nous couper des autres.

Certaines croyances sont courantes, notamment celles-ci dans lesquelles vous vous reconnaîtrez peut-être :

  • « je suis différent(e) » ou « je suis spécial » (donc je ne peux pas être en relation avec les autres),
  • « je ne suis pas intéressant(e) » (donc je ne mérite pas que les autres se lient à moi),
  • « personne ne me comprend » (donc il est vain que je me rapproche des autres).

Découvrir comment ces croyances conditionnent nos comportements au quotidien et apprendre à faire le choix d’une autre attitude favorise une évolution.

source dans la montagne

Au delà du travail psychologique, ce qui va véritablement apaiser notre sensation de manque et faire taire cette souffrance, c’est de nous relier plus profondément à nous-même. Au fond de nous, sous les couches superficielles de notre personnalité, nous disposons en effet d’une source inépuisable à laquelle nous pouvons nous abreuver sans limite.

Rencontrer la source 

C’est précisément l’objectif de la thérapie transpersonnelle* que de nous donner accès à cette source, de nous permettre de retrouver le sentiment d’unité, de lien, et l’amour illimité qui est en nous.

La respiration consciente (Rebirth) est une méthode efficace pour « traverser »  les couches superficielles de notre personnalité et accéder au cœur de nous-même.

Lors d’une séance de respiration, il est courant de ressentir une sensation de paix profonde. La personne qui « respire » exprime souvent son ressenti en disant : « c’est moi ! ». Comme une évidence. Elle se sent chez elle. A sa place. A cet endroit-là, il n’y a plus aucun manque…

Alors que nous pouvons ainsi contacter notre être le plus profond durant les séances de Rebirth grâce aux états modifiés de conscience, nous n’y avons pas accès par ailleurs. A moins de pratiquer assidûment la méditation ou certaines formes de yoga par exemple.

Développer une relation intime avec nous-même

Toutefois, cette expérience vécue au cours du travail thérapeutique devient pour nous un repère. Une direction que nous pouvons suivre. Nous savons qu’en nous reliant à nous-même, d’une manière ou d’une autre, nous ne nous sentirons plus aussi seul(e).

C’est pourquoi, au cours du travail thérapeutique, j’attache beaucoup d’importance à transmettre un art d’être qui permet à la personne que j’accompagne de rester reliée à elle-même, d’entretenir au jour le jour le contact avec elle-même, avec tout son univers intérieur.

Toujours dans cet esprit, j’ai publié sur ce site l’ebook « Découvrir son vécu intérieur » que je vous invite à lire. Il contient des conseils pratiques notamment pour observer votre respiration et votre atmosphère émotionnelle intérieure. En suivant les conseils donnés dans ce document, vous pourrez, tout comme je l’ai fait moi-même, développer une relation intime avec vous-même. Ce faisant, le sentiment de solitude s’estompera.

En compagnie de soi-même, on n’est jamais seul !

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Vous pouvez télécharger gratuitement l’ebook « Découvrir son vécu intérieur » en cliquant sur ce lien.

Pour en savoir plus, lisez l’article « La puissance du Rebirth ».

Pour en savoir plus sur mon accompagnement thérapeutique qui vise l’harmonie dans les relations et la sérénité intérieure, lire sur ce site « Que peut-on attendre de la thérapie »« Comment se déroule la thérapie ? » et « Les témoignages ».

* Le terme « transpersonnel » signifie : au-delà de la personnalité. Un synonyme pourrait être le mot « spirituel », mais il est souvent mal compris.

Confiance

Avoir confiance en soi

« Je n’y arriverai jamais, je suis trop nul(le), même pas la peine d’essayer, les autres en sont capables mais pas moi… » Ces petites phrases vous disent-elles quelque chose ?!

Beaucoup d’entre nous sommes accoutumés à entendre à l’intérieur de notre tête une voix qui nous assène de tels verdicts. A force d’entendre cette voix depuis si longtemps, nous lui donnons raison et sommes convaincus qu’elle dit la vérité.

Résultat : puisque c’est perdu d’avance, nous n’essayons même pas. Nous avons une piètre image de nous-même et imaginons que les autres valent bien mieux que nous, au point parfois que nous donnons raison à ceux qui nous rabaissent.

Si vous êtes dans une telle situation, sachez que vous n’êtes pas seul(e) ; et c’est un euphémisme : l’auto-dévalorisation est en fait très répandue dans notre société et suscite beaucoup de mal-être.

Toutes ces croyances que nous avons sur nous-mêmes s’installent dès l’enfance. Les causes peuvent être multiples. En premier lieu, une ambiance familiale critique où les qualités et les réussites de l’enfant que nous étions n’ont pas été reconnues par nos parents.

Des événements apparemment anodins ont pu grandement blesser cet enfant dans son besoin légitime de reconnaissance. Et en se répétant, ils ont engendré des blocages énergétiques porteurs de croyances limitatives.

Bien que le contexte ait changé et même si nous avons eu de brillantes réussites entre temps, ces croyances continuent à nous accompagner. Lorsque nous en devenons conscients, nous gagnons une première victoire car nous pouvons repérer les moments où notre voix intérieure nous « démolit » et sape notre confiance en nous-mêmes. Et nous pouvons alors réagir.

Même si elle nous sabote, cette voix critique cherche en réalité à nous protéger, à nous éviter la souffrance qui pourrait être suscitée par de nouvelles critiques venant de l’extérieur. C’est la peur qui la met en action, la peur du rejet, de l’abandon…

Il nous incombe de rassurer cette partie de nous que l’on appelle le critique intérieur. Une fois le critique rassuré, son emprise lâche, nous disposons d’une marge de manœuvre inattendue !

Pour y parvenir, nous pouvons dialoguer intérieurement avec lui. Cela suppose que nous parvenions à prendre un peu de distance par rapport à lui, que nous cessions de nous identifier à lui ; autrement dit, nous ne le considérons plus comme étant nous-même, mais le voyons plutôt comme une partie de nous-même.

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Il est extrêmement profitable de donner ainsi la parole à notre critique intérieur.

Cet exercice que je réalise en séance selon la technique du Voice Dialogue mise au point par Hal et Sidra Stone permet de mieux connaître les inquiétudes du critique, et d’apprendre à le gérer au jour le jour pour qu’il ne soit plus aussi présent et limitant.

En attendant de faire ce travail et, à un niveau plus profond, de libérer les blocages énergétiques dans lesquels sont enracinées ces croyances négatives, vous pouvez cultiver une image positive de vous-même.
Comment faire ?

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Simplement, en reconnaissant tout ce que vous avez de bon en vous-même et tout ce que vous faites de bien. Par exemple, chaque jour, ayez rendez-vous avec vous-même pour dresser la liste de ce qui, dans cette journée, mérite votre reconnaissance. Certains recommandent de se complimenter devant la glace : « bravo, tu as écrit un nouvel article pour ton blog au lieu de somnoler dans ton rocking chair (!) », « c’est super, tu as vraiment trouvé les mots justes avec Pierre », « je te félicite pour ta nouvelle coiffure »… Une petite « dose » chaque jour !

Et lorsque vous avez réussi quelque chose de vraiment exceptionnel, que vous ne vous imaginiez pas capable d’accomplir, inscrivez-le (en mots ou en images) dans un « tableau des exploits » affiché chez vous dans un endroit bien visible.

Vous nourrirez ainsi la confiance en vous-même.

Pour en savoir plus sur mon accompagnement thérapeutique qui vise l’harmonie dans les relations et la sérénité intérieure, lire sur ce site « Que peut-on attendre de la thérapie »« Comment se déroule la thérapie ? » et « Les témoignages ».

A télécharger gratuitement l’e-book « Découvrir son vécu intérieur ».

Thérapie

7 raisons de choisir la thérapie transpersonnelle

Si vous êtes sur le point de démarrer une thérapie, cet article est pour vous ! Ces quelques lignes vous permettront de repérer rapidement si la thérapie transpersonnelle (celle que je pratique) est susceptible de vous convenir et de vous permettre d’accomplir une transformation bénéfique.

En 7 points, je vais vous présenter quelques-unes de ses caractéristiques essentielles.

La thérapie transpersonnelle est sans doute ce qu’il vous faut si :

RAISON N°1

Vous souhaitez réaliser un travail sur vous-même en profondeur pour obtenir une amélioration de votre bien-être psychique à la fois nette et durable.

RAISON N°2 

Tout en étant prêt(e) à vous engager sur ce chemin thérapeutique pendant quelques mois ou quelques années, vous voulez obtenir des améliorations tangibles rapidement.

RAISON N°3 

Vous voulez bénéficier d’une thérapie taillée sur mesure : c’est la méthode qui s’adapte à vous et non vous qui vous adaptez à la méthode.

RAISON N°4

Vous préférez être accompagné(e) par un(e) thérapeute qui « connaît le chemin » pour l’avoir lui-même parcouru et qui vous guide en respectant vos besoins et votre rythme.

RAISON N°5

Vous ressentez le besoin d’être accompagné par une personne qui s’implique activement à vos côtés, avec laquelle vous dialoguez, dans une atmosphère de coopération et de confiance.

RAISON N°6

Vous estimez souhaitable que les quatre dimensions de votre personne (corps, sphères émotionnelle et mentale, et aspirations spirituelles éventuellement*) soient impliquées dans votre thérapie car vous les savez étroitement imbriquées.

RAISON N°7

Vous souhaitez :

  • décider vous-même de la fréquence des séances selon vos besoins et vos possibilités,
  • suspendre la thérapie quand cela vous paraît approprié ou nécessaire,
  • la reprendre si vous en ressentez le besoin.

Prochainement, je rentrerai plus en détails dans la description de cette méthode thérapeutique, à travers d’autres articles. Et en particulier j’expliquerai la signification du terme « transpersonnel ». A suivre…

Pour en savoir plus sur mon accompagnement thérapeutique qui vise l’harmonie dans les relations et la sérénité intérieure, lire sur ce site « Que peut-on attendre de la thérapie »« Comment se déroule la thérapie ? » et « Les témoignages ».

A télécharger gratuitement l’e-book « Découvrir son vécu intérieur ».

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* Les quatre dimensions de la personne :

  • votre mental : votre capacité de connaître, comprendre, analyser…,
  • vos émotions (colère, tristesse, peur…),
  • votre corps qui porte la mémoire de tout votre vécu,
  • éventuellement vos aspirations « spirituelles » telles que donner du sens à votre vie, vous relier à l’Essentiel…
Emotions

Comment gérer notre colère ?

Faites-vous partie des gens qui se mettent en colère de temps en temps ? Ou bien êtes-vous de ceux qui ne laissent jamais filtrer une expression de colère ?

Les éclats de colère ont souvent un effet dévastateur sur les relations avec nos proches. Face à ces explosions, les personnes de notre entourage peuvent réagir de diverses façons : elles se replient sur elles-mêmes, coupent le lien, s’enferment dans le silence, ont peur de nous, ou se mettent elles aussi en colère…

A posteriori, peut-être êtes-vous envahi(e) par le regret ou la honte. Vous sentez le besoin de vous faire pardonner.

Mais au fond de vous, malgré votre décision d’y mettre fin, vous percevez que rien ne pourra arrêter la prochaine explosion de colère…

Si vous ne ressentez jamais de colère, peut-être constatez-vous par moments que votre attitude et vos paroles expriment de l’aigreur, du ressentiment, de la critique, du désamour à l’égard de vos proches. Et vous devinez que tout cela provient d’une « rumination » intérieure dont le parfum est celui de la contrariété, voire de la colère. C’est un état de fait qu’il n’est pas aisé de discerner, et encore moins d’admettre, quand on a pour règle de conduite de ne jamais ressentir de colère. Si bien que nous ne savons pas identifier cette émotion au fond de nous.

Qu’elle nous explose au nez sans qu’on puisse la contrôler, ou qu’on la maîtrise parfaitement mais en la voyant se manifester par d’autres biais, la colère nous gâche souvent la vie.

Inévitable, cette émotion est une forme de réaction naturelle.

femme blonde criant

Il est parfaitement normal d’en ressentir dans toutes sortes de situations : une personne nous impose quelque chose que nous ne voulons pas faire, ou nous empêche de faire ce que nous voulons, une autre ne nous respecte pas ou nous critique, une autre ne se plie pas à nos exigences, la vie nous met des bâtons dans les roues, etc. La colère s’élève à l’intérieur de nous lorsque nous sommes ainsi confrontés à un abus de pouvoir, et dans toutes les situations où nous nous sentons impuissants.

Que faire alors ?

Si nous avons tendance à nous laisser déborder par la colère – avec les dégâts que cela provoque… -, nous pouvons à court terme essayer de la sentir arriver. A ce moment-là, nous changeons de pièce et respirons profondément, nous nous accordons quelques instants pour que la colère retombe.

Nous pouvons aussi secouer notre corps pour évacuer le trop plein d’énergie ; l’autre option étant, si nous sommes seuls, de crier. Certaines personnes vont faire un tour en voiture pour pouvoir crier à leur aise. Cela fonctionne très bien aussi à retardement. Il suffit de se remémorer la situation qui a suscité notre colère et de la laisser « sortir ».

Toutes ces stratégies permettent de faire retomber la colère et/ou de l’évacuer. Mais le point clé est d’arriver, avant l’explosion, à sentir la colère qui monte. Pour cela, il nous faut être attentif à nos sensations corporelles. Car la colère se traduit d’abord par des changements dans le corps. On peut sentir une tension, une contraction dans l’estomac, la respiration qui change, etc.

Pour éviter que la colère revienne sans cesse, il est préférable de comprendre pourquoi telle situation nous fait réagir si fort et de résoudre le problème à sa source, à l’intérieur de nous.

Si, en revanche, nous ne laissons pas « sortir » la colère que de multiples événements de la vie induisent forcément, elle s’accumule en nous. Ainsi nous pouvons devenir des « cocottes minutes ambulantes » !

concrétions minérales

L’explosion arrive alors à retardement par rapport à la situation contrariante. Ou bien, si nous nous contrôlons, la colère se cristallise dans notre corps sous forme de blocages (énergétiques). C’est ce qui se produit notamment si nous avons grandi dans une famille où la colère est interdite : nous avons appris à systématiquement la refouler.

Le travail thérapeutique consiste à dissoudre ces blocages. Cette transformation a un effet immédiat très net sur notre ambiance intérieure qui devient plus sereine ; nous avons alors une sensation de légèreté et nous nous sentons plus libres.

volcans-islande avec hommeNaturellement, au cours d’un tel processus thérapeutique, nous entrons en contact intime avec notre colère, nous apprenons à la connaître et à la reconnaître, à l’accepter.

A partir du moment où nous accueillons notre colère comme une émotion légitime, elle devient libre de se transformer. Cette énergie de colère se dissout ou bien devient une autre émotion, par exemple de l’amour. On parle de transmutation. Je sais que cela peut vous surprendre, mais c’est pourtant tout à fait vrai ! Il suffit de l’expérimenter pour s’en convaincre…

Pour en savoir plus sur mon accompagnement thérapeutique qui vise l’harmonie dans les relations et la sérénité intérieure, lire sur ce site « Que peut-on attendre de la thérapie »« Comment se déroule la thérapie ? » et « Les témoignages ».

A télécharger gratuitement l’e-book « Découvrir son vécu intérieur ».